La java |
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[Em]Quand arrive le samedi, sans foutre de vernis, ni faire de toi[B]lette, nous partons au galop, avec nos costauds, dans un bal mu[Em]sette, où nous nous retrouvons rien qu'entre mectons et vraies gigo[D]lettes [C]deux par deux on tourne, on [G]tourne, [A]et [Em]on [Am]fredonne au son de l'ac[G]cor[C]dé[B7]on [E]Qu'est-ce qui dégote le fox-[F#m7]trotte et même le chi[B7]mi [F#m7]les pas en[B7]glish, la sco[E]ttish et tout c'qui s'en suit. C'est la ja[B7]va, la vielle masurcha du vieux sébasto T'es ma ne[E]nesse, tu es ma gonzesse je suis ton julot. [E]Tout contre moi serre [F#m7]toi, bien fort dans mes [B7]bras [F#m7]je te sui[B7]vrais je fe[E]rais ce que tu voudras. [F#m7]Quand je te [B7]prends dans mon coeur je sens comme un vertigo, [F#m7]t'ais ma cas[E]quette, mes deux roufla[B7]quettes et mon bout d'mé[E]got. [F#m7][E][B7][E] Mais, boul'vard Saint Germain, les gens du gratin, ils ont pas de principe. dès que les purotins ont quelqu'chose de bien y faut qu'ils leur chippent. A présent les mondains, et ces mais en vain de copier nos types et les poules de luxe dans les salons chantent en se pavant à leurs mich'tons. Qu'est-ce qui dégote le fox-trotte et même le chimi les pas english, la scottish et tout c'qui s'en suit. C'est la java, la vielle masurcha du vieux sébasto T'es ma nenesse, tu es ma gonzesse je suis ton julot. Tout contre moi serre toi, bien fort dans mes bras je te suivrais je fe]rais ce que tu voudras. Quand je teprends dans mon coeur je sens comme un vertigo, t'aimes ma casquette, mes deux rouflaquettes et mon bout d'mégot. Quand je te prends dans mon coeur je sens comme un vertigo, t'aimes ma casquette, mes deux rouflaquettes et mon bout d'mégot. |