Olé! |
(Renaud Séchan
/Jean Pierre Bucolo)
Intro: Gm /Gm / Bb / Cm / Eb / F / Gm / Gm Olé[Bb]![Cm]Les bel[Bb/D]les étran[Eb]gères à étrangler[F] [Eb/G]Fichus, soulei[F/A]ado, [Eb/Bb]robes de chez [Eb/G]Lacroix [Eb]Les pétasses [F]au soleil des [Gm7]longs étés framboises [E]Posent leur cul bron[Bb/D]zé qu'un con [D7/F#]honorera[Gm] Sur la [Cm7]pierre fatiguée[Bb/D] des a[Eb]rènes Nîmoises[F] [Eb/G]Et puis pour [F/A]une fiotte, en balle[Bb]rines [Eb/Bb]noires [Eb]Qui arro[F]se bientôt le [Gm7]sable d'un sang bovin[Eb] Se pâment [Bb/D]sur l'épaule de leur [D7/F#]mac d'un soir[Gm] Et [Cm7]mouillent la soie fine[Bb/D] de leur [Eb]dessous co[F]quins Olé Les belles étrangères à étrangler Les yeux plantés profonds dans ceux du matador Descendant quelquefois vers le membre latin Serti comme une pierre dans le satin et l'or Elles rougissent un peu et pensent : " Quel engin " Puis elles vont pieds nus dans leur fragile blouse Par les ruelles chaudes quand la ville s'embrase S'imaginent gitanes, provençales, andalouses Toutes sont parisiennes, pire encore Niçoises Olé Les belles étrangères à étrangler Les pétassent finissent dans quelque bodega Ecoutant Gibsy-King, dansant et riant fort A[E]vant d'aller vo[Bb/D]mir toute [D7]leur sangria[Gm] [Cm7]Enfin [Bb/D]dans le rétro[Eb] poussiéreux[F] [Eb]D'un camion [Bb/D]des poubelles, [Cm7]à l'aurore[F/A] Se [Eb]remaquill[F]ent un peu[Gm] Gm / [F/A] / Bb / Cm7 / Eb / F / Gm |