#jesuischarlie
Modérateur : modérateurs
Re: #jesuischarlie
Ça fait mille ans que je me dis que je devrais jeter un œil appuyé à Sine mensuel.
C'est un peu une occase pourrie, mais c'en est une.
Mais je pense vraiment que cette manie du "#" est porteuse de mal, comme ça, spontanément, sans y avoir trop songé.
C'est un peu une occase pourrie, mais c'en est une.
Mais je pense vraiment que cette manie du "#" est porteuse de mal, comme ça, spontanément, sans y avoir trop songé.
Re: #jesuischarlie
Achète le! Ils ont besoin de thunes, en plus.
"La seule différence entre un fou et moi, c'est que moi, je ne suis pas fou".
Re: #jesuischarlie
lucien a écrit :Siné mène le même combat dans son édito ce mois ci!
On mène les combats qu'on croit utile
E kreiz an avel, atao!
Re: #jesuischarlie
Les affaires de langage ne sont jamais inutiles, surtout lorsqu'il s'agit d'une tentative manifeste de globalisation/simplification (c'est à dire éradication, au final) des idées.
Le hashtag, c'est du novlangue.
Le hashtag, c'est du novlangue.
Re: #jesuischarlie
Aïdos a écrit :Les affaires de langage ne sont jamais inutiles, surtout lorsqu'il s'agit d'une tentative manifeste de globalisation/simplification (c'est à dire éradication, au final) des idées.
Le hashtag, c'est du novlangue.
ouais, m'etonne pas, j'ai toujours pensé que Siné etait un gros beauf réac et antisémite, gorgé de vin rouge et de certitudes.
E kreiz an avel, atao!
Re: #jesuischarlie
Je crois qu'on ne s'est pas compris.
Re: #jesuischarlie
Aïdos a écrit :Je crois qu'on ne s'est pas compris.
sissi, les reacs ce sont toujours les autres ....
E kreiz an avel, atao!
Re: #jesuischarlie
Je dois être con et/ou fatigué, parce que je pige toujours pas.
Mais c'est peut-être pas très grave.
Mais c'est peut-être pas très grave.
Re: #jesuischarlie
Aïdos a écrit :Je dois être con et/ou fatigué, parce que je pige toujours pas.
Mais c'est peut-être pas très grave.
non , juste je trouvais que ne pas vouloir accepter de nouveautés dans le langage, c'était un peu réac et ça ne m'étonnait pas de Siné, que je n'apprécie pas .
E kreiz an avel, atao!
Re: #jesuischarlie
Y a nouveauté et nouveauté (tadaaaa !).
Quand on veut tout réduire à un mot, ou un symbole, on perd du sens.
Et ce n'est JAMAIS innocent, ne rêvons pas.
Quand on veut tout réduire à un mot, ou un symbole, on perd du sens.
Et ce n'est JAMAIS innocent, ne rêvons pas.
Re: #jesuischarlie
Quand c'est une nouveauté je dit pas... mais là c'est une mode... qui comme toute les modes sera dépassée dans quelques années.Yann quib a écrit :Aïdos a écrit :Je dois être con et/ou fatigué, parce que je pige toujours pas.
Mais c'est peut-être pas très grave.
non , juste je trouvais que ne pas vouloir accepter de nouveautés dans le langage, c'était un peu réac et ça ne m'étonnait pas de Siné, que je n'apprécie pas .
Avant c'était "3615" puis y'a eu ".com" et maintenant c'est "hashtag"... vivement le prochain concept novlangue inutile en lien avec le virtuel.
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
Re: #jesuischarlie
C'était une litote, Yann. Parce que des combats, il en a menés, Siné. Mais inutile de répondre, ça doit bien faire la 20ème fois que tu nous esspliques que tu l'aimes pas.Yann quib a écrit :lucien a écrit :Siné mène le même combat dans son édito ce mois ci!
On mène les combats qu'on croit utile
"La seule différence entre un fou et moi, c'est que moi, je ne suis pas fou".
Re: #jesuischarlie
N'empêche que là chez Charlie, ils s'engueulent pour partager le pactole.
Re: #jesuischarlie
Et ils voulaient pas que d'autres fassent un pastiche "charpie hebdo" alors que rien que le titre est excellent.
Z'auraient dû continuer de faire des caricatures au lieu de parler en fait.
Z'auraient dû continuer de faire des caricatures au lieu de parler en fait.
Re: #jesuischarlie
Quelle affreuse ironie du sort tout de même. Les galères financières faisaient probablement d'eux une équipe incroyablement soudée, avant de ne se faire en partie sauvagement dessouder. Dans le fond, on peut se demander comment tout ce pognon, fruit de l'horreur, pourrait faire le bonheur du journal.