Toujours envie d'embrasser un flic ?

Engagements pour diverses causes, initiées ou non par Renaud...

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Born X
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par Born X »

Attendu que ça s'annonce tendu dans les temps à venir, un petit guide au cas où: https://paris-luttes.info/filme-un-flic ... 66?lang=fr
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
dd
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par dd »

RASSEMBLEMENT DU FRONT SOCIAL À NANTES
Témoignage. Un père et sa fille de 2 ans chargés par la police : « Ils n’ont plus de limite ? »
Il y a juste une semaine à Nantes, le rassemblement du Front Social était attaqué par la police. Plusieurs manifestants étaient blessées à coups de matraque : syndicalistes et étudiants, jeunes, vieux et enfants. Un père s'est retrouvé coincé et violenté dans la charge policière avec sa fille de 2 ans. Voici son témoignage. Il est accablant.
mardi 27 juin 21

Source : Page facebook Nantes Révoltée

« Lundi 19 juin au soir, il y avait le premier rassemblement du front social à Nantes. Mon colocataire y allait. Moi, je gardais notre fille, son petit frère étant au docteur avec sa maman, et je me suis dit que je pouvais y aller avec elle. Ça me semblait important d’y aller : les nouveaux gouvernants n’ont été élu que par 15% des inscrits, et on nous fait croire à un triomphe. Ils veulent continuer toute la casse commencée par leurs prédécesseurs, et aller très vite disent-ils, par ordonnance. Se retrouver dans la rue entre gens de tous horizons, pour tenter de les faire reculer, ça me paraissait une bonne idée.

Un rassemblement donc, en centre-ville, avec des jeunes, des syndiqués, des vieux, à manger et à boire, ça me semblait pas anormal d’y aller avec la petite. Avec les chaleurs, à son retour de la nounou, on s’est d’abord bien arrosé au jet d’eau dans le jardin, et on n’est arrivé sur la place à l’ombre que vers 18h30, pendant les discours. On a été se chercher à boire, croisé des copains et copines de notre quartier, avec qui je discute et elle joue.

Un peu plus tard, au micro, il est proposé de se rassembler pour participer à une action : il s’agit d’édifier un mur devant une agence bancaire HSBC. Je trouve ça marrant, à la fois c’est symbolique et à la fois ça envoie un message clair. Peut-être faut-il rappeler que c’est un banquier qui a été élu président.

On se regroupe autour de la banque. Des gens se mettent à trimballer les parpaings, d’autres à faire du mortier, d’autres à monter le dit mur. L’ambiance est bon-enfant. Les constructeurs demandent de l’aide. Ma fille, elle voit une truelle et elle a envie d’y aller. En ce moment, c’est son jeu préféré à la maison, la truelle, et le mortier de terre. On va donc se mettre à faire du mortier. J’ai mon casque, elle a sa truelle et son bob, il ne peut rien nous arriver.

Dès notre deuxième seau de mortier, je m’aperçois que ça pousse tout autour. Les forces de l’ordre sont en train de charger. Je prends alors ma fille dans les bras et essaye de sortir par le petit côté, vers la place du Bouffay : on n’est pas venu ici pour se faire taper dessus. Mais c’est bloqué aussi de ce côté. Ça pousse même fort, ça donne des coups de matraque. Ça commence à crier un peu partout. Ils finissent par nous laisser passer, en continuant à nous pousser brusquement. Recevant un coup de bouclier, je tombe à la renverse, ma fille dans les bras, au milieu des policiers, un d’eux ne trouvant rien de mieux que de nous menacer avec sa matraque alors que nous sommes à terre, elle en pleurs et s’agrippant autant qu’elle peut à mon cou. Je me relève au plus vite, pour ne pas se faire écraser par la ligne ou par le mouvement qu’elle provoque, et puis pour la rassurer. Elle me voit crier fort sur les policiers. Elle regarde partout, me serre encore. Les gens crient, derrière nous, certains sont violemment matraqués. Il y a une explosion juste à droite : je panique et elle se met à pleurer plus fort, les yeux grands ouverts. On apprendra plus tard qu’il s’agissait d’une grenade assourdissante. Elle ne doit pas comprendre grand chose. Elle n’avait pas choisi de venir là, elle, et elle jouait tranquillement avec sa truelle.

On me conseille de rentrer avec la petite. Je n’ai pas envie, ce n’est pas normal, il ne s’est rien passé de grave, il n’y a eu aucune dégradation, les flics ne peuvent rien faire, il n’y a aucune raison qu’on soit en danger. Mais on insiste et je me résous à aller chercher le sac de la petite avec la nourriture dans la camionnette AGO (Aéroport du Grand Ouest, les syndicalistes de cette entreprise avaient amené un véhicule sur place) pour m’éloigner un peu, la rassurer et la faire manger au calme. Sauf que la camionnette est maintenant de l’autre côté de la ligne de policiers. Je vais devant pour leur expliquer et la traverser. Ils ne nous laissent pas passer et nous menacent avec leur matraque, ils nous repoussent avec leurs boucliers. Sur le côté, un policier de la CDI braque son flashball sur nous, l’œil au viseur. Il est juste là, à deux mètres de nous, sur notre gauche. La peur me prend, mais l’énervement est plus fort. Je suis là, inoffensif, une petite de 2 ans et 5 mois dans les bras, et lui, sa réaction c’est de braquer son arme sur nous ? Je pète un câble, avance vers lui, l’engueule autant que je peux. Ça commence à monter dans les tours. J’en crois pas mes yeux. Ils n’ont plus de limite ? Une enfant, un bébé même, on pourrait dire. Braqué. Un autre policier se justifiera en me faisant remarquer que la petite a une truelle à la main ! Elle l’a pas lâché depuis tout à l’heure, je ne m’en étais pas aperçu. Même dans la chute, elle ne l’a pas lâché. Tétanisée qu’elle était devant tout ce qui se passait.

Eux, ils ne nous laisseront pas passer. Un passant m’accompagne pour contourner la ligne et accéder au camion. Mais un petit groupe de policiers nous bloque à nouveau. Ils me disent alors : « mais vous êtes fous avec la petite, donnez-nous votre fille, on va s’en occuper ». Eux là, ceux qui viennent de braquer, arme à l’œil et doigt sur la gâchette, ma fille de 2 ans et demi, ils veulent que je la leur confie. Je sature d’énervement. « Ne vous énervez pas ». Avec quelques personnes de la CGT AGO qui m’accompagnent on arrive à passer en les repoussant et les tenant un peu à distance. On récupère notre sac puis on s’éloigne.

Je croise une copine, lui raconte la scène de l’arme braquée sur nous, la gorge piquante et les yeux humides. Elle vient m’accompagner au miroir d’eau. Nous, on va aller se poser là-bas, tranquillement, jouer dans l’eau et puis manger. Mon colocataire nous rejoint, elle s’éclate dans l’eau, elle rit à pleins poumons, je suis rassuré. Sa soirée, ça n’aura pas été que de la peur et de la tension, je me dis.
[…]

On est dans le tram du retour, il est 21h30. Je lui demande si c’était bien la soirée, si elle a aimé aller en ville. « Il est où les méchants ». Ce sera sa seule réponse, qu’elle me répétera encore, une fois sur mes épaules en arrivant à la maison. Ce soir j’espère juste qu’elle dormira, qu’elle ne se réveillera pas en criant, en pleurant ou en demandant à nouveau « il est où les méchants ».
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
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Born X
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par Born X »

http://lahorde.samizdat.net/2017/06/26/ ... de-lordre/
Au cas ou il y aurait encore des doutes....
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Lilibellule
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par Lilibellule »

dd a écrit : 27 juin 2017, 18:41 RASSEMBLEMENT DU FRONT SOCIAL À NANTES
Témoignage. Un père et sa fille de 2 ans chargés par la police : « Ils n’ont plus de limite ? »
Il y a juste une semaine à Nantes, le rassemblement du Front Social était attaqué par la police. Plusieurs manifestants étaient blessées à coups de matraque : syndicalistes et étudiants, jeunes, vieux et enfants. Un père s'est retrouvé coincé et violenté dans la charge policière avec sa fille de 2 ans. Voici son témoignage. Il est accablant.
mardi 27 juin 21

Source : Page facebook Nantes Révoltée

« Lundi 19 juin au soir, il y avait le premier rassemblement du front social à Nantes. Mon colocataire y allait. Moi, je gardais notre fille, son petit frère étant au docteur avec sa maman, et je me suis dit que je pouvais y aller avec elle. Ça me semblait important d’y aller : les nouveaux gouvernants n’ont été élu que par 15% des inscrits, et on nous fait croire à un triomphe. Ils veulent continuer toute la casse commencée par leurs prédécesseurs, et aller très vite disent-ils, par ordonnance. Se retrouver dans la rue entre gens de tous horizons, pour tenter de les faire reculer, ça me paraissait une bonne idée.

Un rassemblement donc, en centre-ville, avec des jeunes, des syndiqués, des vieux, à manger et à boire, ça me semblait pas anormal d’y aller avec la petite. Avec les chaleurs, à son retour de la nounou, on s’est d’abord bien arrosé au jet d’eau dans le jardin, et on n’est arrivé sur la place à l’ombre que vers 18h30, pendant les discours. On a été se chercher à boire, croisé des copains et copines de notre quartier, avec qui je discute et elle joue.

Un peu plus tard, au micro, il est proposé de se rassembler pour participer à une action : il s’agit d’édifier un mur devant une agence bancaire HSBC. Je trouve ça marrant, à la fois c’est symbolique et à la fois ça envoie un message clair. Peut-être faut-il rappeler que c’est un banquier qui a été élu président.

On se regroupe autour de la banque. Des gens se mettent à trimballer les parpaings, d’autres à faire du mortier, d’autres à monter le dit mur. L’ambiance est bon-enfant. Les constructeurs demandent de l’aide. Ma fille, elle voit une truelle et elle a envie d’y aller. En ce moment, c’est son jeu préféré à la maison, la truelle, et le mortier de terre. On va donc se mettre à faire du mortier. J’ai mon casque, elle a sa truelle et son bob, il ne peut rien nous arriver.

Dès notre deuxième seau de mortier, je m’aperçois que ça pousse tout autour. Les forces de l’ordre sont en train de charger. Je prends alors ma fille dans les bras et essaye de sortir par le petit côté, vers la place du Bouffay : on n’est pas venu ici pour se faire taper dessus. Mais c’est bloqué aussi de ce côté. Ça pousse même fort, ça donne des coups de matraque. Ça commence à crier un peu partout. Ils finissent par nous laisser passer, en continuant à nous pousser brusquement. Recevant un coup de bouclier, je tombe à la renverse, ma fille dans les bras, au milieu des policiers, un d’eux ne trouvant rien de mieux que de nous menacer avec sa matraque alors que nous sommes à terre, elle en pleurs et s’agrippant autant qu’elle peut à mon cou. Je me relève au plus vite, pour ne pas se faire écraser par la ligne ou par le mouvement qu’elle provoque, et puis pour la rassurer. Elle me voit crier fort sur les policiers. Elle regarde partout, me serre encore. Les gens crient, derrière nous, certains sont violemment matraqués. Il y a une explosion juste à droite : je panique et elle se met à pleurer plus fort, les yeux grands ouverts. On apprendra plus tard qu’il s’agissait d’une grenade assourdissante. Elle ne doit pas comprendre grand chose. Elle n’avait pas choisi de venir là, elle, et elle jouait tranquillement avec sa truelle.

On me conseille de rentrer avec la petite. Je n’ai pas envie, ce n’est pas normal, il ne s’est rien passé de grave, il n’y a eu aucune dégradation, les flics ne peuvent rien faire, il n’y a aucune raison qu’on soit en danger. Mais on insiste et je me résous à aller chercher le sac de la petite avec la nourriture dans la camionnette AGO (Aéroport du Grand Ouest, les syndicalistes de cette entreprise avaient amené un véhicule sur place) pour m’éloigner un peu, la rassurer et la faire manger au calme. Sauf que la camionnette est maintenant de l’autre côté de la ligne de policiers. Je vais devant pour leur expliquer et la traverser. Ils ne nous laissent pas passer et nous menacent avec leur matraque, ils nous repoussent avec leurs boucliers. Sur le côté, un policier de la CDI braque son flashball sur nous, l’œil au viseur. Il est juste là, à deux mètres de nous, sur notre gauche. La peur me prend, mais l’énervement est plus fort. Je suis là, inoffensif, une petite de 2 ans et 5 mois dans les bras, et lui, sa réaction c’est de braquer son arme sur nous ? Je pète un câble, avance vers lui, l’engueule autant que je peux. Ça commence à monter dans les tours. J’en crois pas mes yeux. Ils n’ont plus de limite ? Une enfant, un bébé même, on pourrait dire. Braqué. Un autre policier se justifiera en me faisant remarquer que la petite a une truelle à la main ! Elle l’a pas lâché depuis tout à l’heure, je ne m’en étais pas aperçu. Même dans la chute, elle ne l’a pas lâché. Tétanisée qu’elle était devant tout ce qui se passait.

Eux, ils ne nous laisseront pas passer. Un passant m’accompagne pour contourner la ligne et accéder au camion. Mais un petit groupe de policiers nous bloque à nouveau. Ils me disent alors : « mais vous êtes fous avec la petite, donnez-nous votre fille, on va s’en occuper ». Eux là, ceux qui viennent de braquer, arme à l’œil et doigt sur la gâchette, ma fille de 2 ans et demi, ils veulent que je la leur confie. Je sature d’énervement. « Ne vous énervez pas ». Avec quelques personnes de la CGT AGO qui m’accompagnent on arrive à passer en les repoussant et les tenant un peu à distance. On récupère notre sac puis on s’éloigne.

Je croise une copine, lui raconte la scène de l’arme braquée sur nous, la gorge piquante et les yeux humides. Elle vient m’accompagner au miroir d’eau. Nous, on va aller se poser là-bas, tranquillement, jouer dans l’eau et puis manger. Mon colocataire nous rejoint, elle s’éclate dans l’eau, elle rit à pleins poumons, je suis rassuré. Sa soirée, ça n’aura pas été que de la peur et de la tension, je me dis.
[…]

On est dans le tram du retour, il est 21h30. Je lui demande si c’était bien la soirée, si elle a aimé aller en ville. « Il est où les méchants ». Ce sera sa seule réponse, qu’elle me répétera encore, une fois sur mes épaules en arrivant à la maison. Ce soir j’espère juste qu’elle dormira, qu’elle ne se réveillera pas en criant, en pleurant ou en demandant à nouveau « il est où les méchants ».
Je suis d'accord que les flics exagèrent...mais aller à une manif avec une petite de 2 ans faut quand même être un peu marteau, non? Je suis la seule que ça choque? Le mec raconte ça comme si il était s'était fait agresser alors qu'il se baladait tranquille au parc avec sa gamine...non mais tu vas à une manif, quoi! Tu sais que les flics sont des cons qui frappent les gens et toi t'emmènes ta gosse de 2 ans...au secours!
je vais me mettre tout le monde à dos, moi!
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par SVPat »

Lilibellule a écrit : 05 juil. 2017, 13:58 Je suis d'accord que les flics exagèrent...mais aller à une manif avec une petite de 2 ans faut quand même être un peu marteau, non? Je suis la seule que ça choque? Le mec raconte ça comme si il était s'était fait agresser alors qu'il se baladait tranquille au parc avec sa gamine...non mais tu vas à une manif, quoi! Tu sais que les flics sont des cons qui frappent les gens et toi t'emmènes ta gosse de 2 ans...au secours!
je vais me mettre tout le monde à dos, moi!


Pas à dos, mais il me semble qu'on ne va pas manifester pour se faire taper dessus !
J'ai fait des manif's avec mes gosses en landau, en poussette et même Madame en cloque sans jamais penser les mettre en danger !
ce qui est navrant c'est qu'on arrive à tolérer qu'un droit constitutionnel - le droit de manifester- soit mis en cause par la répression policière !
Liberté, j'écris ton nom !
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par adieu minette »

SVPat a écrit : 05 juil. 2017, 15:17 J'ai fait des manif's avec mes gosses en landau, en poussette et même Madame en cloque sans jamais penser les mettre en danger !
SVPat nous glisse habilement qu'il a fait la manif pour tous.... :mrgreen:

Sinon, une manif normalement, ça peut-être très sympathique. J'en ai fait plusieurs, avec la puce sur les épaules. Si j'avais eu le moindre doute d'un potentiel danger je n'y serais jamais allé.
Soutien au peuple afghan et aux ukrainiens.
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cooks
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par cooks »

Salutations respectueuses aux BB qui ont pris leur pied à Hambourg ces derniers jours. C'est pas encore fini !!! :diable:

Et pensées aux victimes de la sauvagerie policière. ACAB.
La seule église qui illumine est celle qui brûle !

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ac2n
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par ac2n »

Pas encore un blaireau, ni un syndicaliste ou un militant du parti des oiseaux etc... pour en parler, ok, ok je m'y colle, et en parlant de coller...

http://www.lefigaro.fr/international/20 ... police.php

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ ... 48573.html

Et y doit y en avoir beaucoup d'autres...
"Moi je cultive l'amour sur le fumier du mépris" (Yes papillon-Gari Greù/JG Tartare)

"Le coinT coinT sauvera l'humanité" (ac2n, philosophie de bistrot virtuel)

https://www.facebook.com/Xavisions-399600453546061/
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Marie la Belge
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par Marie la Belge »

Paris, manif des Hospitaliers, aujourd'hui vers midi.
https://www.facebook.com/La-Marche-Des- ... 179346454/


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Elle quitte le vilain phenix mais aimera toujours Renaud.
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dd
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par dd »

ils comprendront jamais ces connards de flics qui si des gens se battent c'est aussi pour eux et leurs familles

par contre ils étaient bien content de trouver des médecins non regardant quand 2000 d'entre eux se fait porter pale lors de la manif du 21


et comme dirait cook

mort aux vaches
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
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korrigan
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par korrigan »

Ben oui, moi aussi j'ai fait des manifs, jamais eu de problèmes, on marchait, on disait ce qu'on avait à dire, et tout allait bien ..... bon, d'accord, il y a quelques années que mes guibolles m'interdisent ce genre de sport.

Comprends pas cette violence.
"...à part Brassens et les oiseaux, quoi écouter..."
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SVPat
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par SVPat »

La peur de la coontagion sociale!
Face à l'exaspération des peuples qui voit des riiches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvre, le systéme, il ne lui reste pas vbeaucoup de solution vu qu""Une bonne guerre" n'est pas facile à déclancher vu l'armement actuel !
Allors reste les lois répréssive ( genre Loi Travail en France) les interdictions de laisser les peuples s'exprimer ( vote détourné, ou bloqué) et la force brutale ! ( Infirmières, routiers, Nantes, etc....)
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Je préfère manger une pomme de terre debout qu'un steak à genoux !
>>> :arrow: > > > >Mon Boxon !
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par ac2n »

Arrêt du Tribunal Pénal International de La Haye (dont l'Espagne est signataire) :
"Arrêt du Tribunal de La Haye : la Cour internationale de Justice de La Haye principal organe judiciaire de l'ONU, a établi à cet égard, par jugement du 22 juillet 2010 :
"Nous déclarons qu'aucune règle interdisant les déclarations unilatérales d'indépendance n'existe en droit international.
Nous déclarons que lorsqu'il y a une contradiction entre la légalité constitutionnelle d'un Etat, et la volonté démocratique, la seconde prévaut.
Et nous déclarons que, dans une société démocratique, contrairement à une dictature, ce n'est pas la loi qui détermine la volonté des citoyens, mais c'est elle qui crée et modifie la légalité en vigueur."
"Moi je cultive l'amour sur le fumier du mépris" (Yes papillon-Gari Greù/JG Tartare)

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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par ac2n »

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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?

Message par dd »

FrontSocial
38 min ·
LA POLICE EMPÊCHE LES MANIFESTANTS DE RENTRER CHEZ EUX !

La manifestation est nassée bvd Haussmann. 1 camion à eau des 2 côtés.
Le @FrontSocialUni négocie pour que l'on puisse passer sans fouille.

Faites tourner. Dénonçons l’atteinte aux libertés de manifester ! Solidarité
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
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