Les deux sont morts
Toujours envie d'embrasser un flic ?
Modérateur : modérateurs
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Les deux sont morts
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Tués par le fric...
Ce qui est quand même plus grave que tué par les flics...
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
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- Messages : 947
- Enregistré le : 09 juil. 2012, 11:25
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
flic=fric
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Nan mais tout va bien...
le phénix fait des basous aux flics, y'en a pour nous dire que les flics y'en a besoin et pi y sont gentils parce qu'ils ont la carte du syndicat et pendant ce temps là les assassins assermentés fignolent leur besogne sous la bienveillante autorité de ceux qui viennent appliquer des lois dans leurs robes ensanglantées.
L'amnésie caractérisée ne touche pas que les chanteurs morts.
Elle touche aussi ceux qui disent qu'ils n'oublieront pas mais qui pourtant oublie aussi vite que leurs grands discours sont creux.
le phénix fait des basous aux flics, y'en a pour nous dire que les flics y'en a besoin et pi y sont gentils parce qu'ils ont la carte du syndicat et pendant ce temps là les assassins assermentés fignolent leur besogne sous la bienveillante autorité de ceux qui viennent appliquer des lois dans leurs robes ensanglantées.
L'amnésie caractérisée ne touche pas que les chanteurs morts.
Elle touche aussi ceux qui disent qu'ils n'oublieront pas mais qui pourtant oublie aussi vite que leurs grands discours sont creux.
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Quand on oublie aussi que c'est le refus de globaliser et de mettre tout le monde dans le même sac qui fait le contenu du discours.
Libre à d'autres d'avor un discours différent !
Libre à d'autres d'avor un discours différent !
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Ah bah c'est sur que des gens qui ont des uniformes, des flingues et qui obéissent à des ordres et dont la mission est le maintient de l'ordre et de veiller au respect de la loi c'est quand même super nul de tous les mettre dans le même sac...
C'est tellement "personnalité propre" et "marque de la différence" l'uniforme...
Rien que le nom déjà.
C'est tellement "personnalité propre" et "marque de la différence" l'uniforme...
Rien que le nom déjà.
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Puis surtout on vera bien, le jour où ça pète vraiment, si on fait encore la différence entre le gentil flic qui aide la mamie à traverser ou qui enquête sur le cambriolage de ton appart', et les enfoirés qui sont en rang de bataille à n'importe quel manif...
On verra s'ils sont pas tous dans le même sac, du même côté des barricades. Et aux ordres.
On verra s'ils sont pas tous dans le même sac, du même côté des barricades. Et aux ordres.
"La seule différence entre un fou et moi, c'est que moi, je ne suis pas fou".
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
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Anne-Claire Damaggio
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Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Un génie
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Anne-Claire Damaggio
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Anne-Claire Damaggio
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Tu viens de découvrir Frédéric fromet born ?
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Nan mais ce matin j'étais en mode "je me l'écoute"
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
La France est un pays de flics,
À tous les coins du rue y'en a cent...
Hexagone 2.0 à Nice chez Estrosi.
https://www.ouest-france.fr/provence-al ... te-5501576
À tous les coins du rue y'en a cent...
Hexagone 2.0 à Nice chez Estrosi.
https://www.ouest-france.fr/provence-al ... te-5501576
- fifi brindacier
- Messages : 609
- Enregistré le : 12 juil. 2017, 19:18
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
N'IM-POR-TE-KOI ils ont vraiment rien d'autre à foutre!Jeep a écrit : ↑15 janv. 2018, 17:18 La France est un pays de flics,
À tous les coins du rue y'en a cent...
Hexagone 2.0 à Nice chez Estrosi.
https://www.ouest-france.fr/provence-al ... te-5501576
Et puis si un autre attentat doit se produire, il se produira, "Reporty" ou non.
Encore une histoire pour espionner un peu plus les gens, c'est comme les caméras de reconnaissance faciale en Chine qui ne tarderont pas à arriver chez nous.
On marche sur la tête
"Je voudrais être un arbre, boire l'eau des orages
Me nourrir de la terre, être ami des oiseaux"
Me nourrir de la terre, être ami des oiseaux"
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
Le pire c'est qui vont trouvé des connards pour faire ce sale boulot
J'aurais pas voulu être leurs potes en 1940
J'aurais pas voulu être leurs potes en 1940
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
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Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
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- Marie la Belge
- Messages : 5998
- Enregistré le : 24 juil. 2006, 12:10
Re: Toujours envie d'embrasser un flic ?
"J'me sens coupable d'être né français, de parents français, d'arrière-arrière... etc. grands-parents français, dans un pays où les indigènes pendant l'occupation allemande écrivirent un si grand nombre de lettres de dénonciation que les nazis les plus compétents et les mieux expérimentés en matière de cruauté et de crimes contre l'humanité en furent stupéfaits et même un peu jaloux.
J'me sens coupable de pouvoir affirmer qu'aujourd'hui ce genre de pratique de délation typiquement française est toujours en usage et je prends à témoin certains policiers compatissants, certains douaniers écoeurés, certains fonctionnaires de certaines administrations particulièrement troublés et choqués par ce genre de pratique.
J'me sens coupable d'imaginer la tête laborieuse de certains de mes voisins, de certains de mes proches, de certaines de mes connaissances, de certains petits vieillards crapuleux, baveux, bavards, envieux et dérisoires, appliqués à écrire consciencieusement ce genre de chef-d'oeuvre de l'anonymat.
J'me sens coupable d'avoir une gueule à être dénoncé !"
(H.-F. Thiéfaine)
J'me sens coupable de pouvoir affirmer qu'aujourd'hui ce genre de pratique de délation typiquement française est toujours en usage et je prends à témoin certains policiers compatissants, certains douaniers écoeurés, certains fonctionnaires de certaines administrations particulièrement troublés et choqués par ce genre de pratique.
J'me sens coupable d'imaginer la tête laborieuse de certains de mes voisins, de certains de mes proches, de certaines de mes connaissances, de certains petits vieillards crapuleux, baveux, bavards, envieux et dérisoires, appliqués à écrire consciencieusement ce genre de chef-d'oeuvre de l'anonymat.
J'me sens coupable d'avoir une gueule à être dénoncé !"
(H.-F. Thiéfaine)
Elle quitte le vilain phenix mais aimera toujours Renaud.