GALILÉE... purée, tu nous as eus, Renaud...
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j'ai pas trop compris ce que tu voulais dire. Ton histoire de par où commence-t-on ne contredit pas ce que j'ai dit.lucien a écrit : heu, oui, c'est bien ce que je voulais t'introduire. Pour ce que j'en connais, mais c'est vrai qu'a part moi même et quelques (trop rares) nanas consentantes, j'ai assez peu d'expérience en la matiere, pour le peu que je sache, donc, on démarre assez rarement par une sodomie. Ce serait donc la fin de l'acte, et, tout pres du mont de vénus, il termine son orbite.
Bon, j'ai relu la fin, et effectivement, l'hyopthèse de l'anus semble se vérifier, cela dit mon hypothèse a plusieurs avantages :
- elle est plus mignonne
- Vénus est une planète
- L'anus est quand même pas trop loin du mont de vénus
- Monde Uranus et mont de vénus, en terme de sonorité c'est proche.
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Lucyanne a écrit :
Jul, je t'aime....
- distantship
- Messages : 144
- Enregistré le : 12 nov. 2005, 17:05
mon hypothèse c'est que la rime en "us", c'est mon de vénus, et pour alpha, c'est + mignon le mot "mot de vénus" que "anus".
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Lucyanne a écrit :
Jul, je t'aime....
...pour cela, ce n'est pas dit explicitement...ce que je trouve bien, c'est plus discret.jul a écrit :mon hypothèse c'est que la rime en "us", c'est mon de vénus, et pour alpha, c'est + mignon le mot "mot de vénus" que "anus".
Pour ce qui est le "mont de Vénus", je te donne raison, c'est plus mignon.
Au passage, je prends plus de plaisir en regardant celui peint de manière discrète par Cabanel que la manière dont Courbet a peint dans son "origine du monde", tableau cité dans la même chanson.
Mais bon, j'suis une femme...en plus, pudique... La perception doit être différente chez les mecs.
A. Cabanel
Je m'abstiens à poster le tableau de Courbet.
Vous n'allez qu'à voir au musée d'Orsay...Ils sont à qqs pas l'un de l'autre.
Tousse pour un, rhume pour tousses.
- Porte-Orleans
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- Enregistré le : 07 nov. 2005, 15:19
comment qu'c'est trop bien le musée d'orsay.
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Lucyanne a écrit :
Jul, je t'aime....
- La bande des modos
- Messages : 926
- Enregistré le : 22 sept. 2003, 18:13
- Localisation : La gomme à la main
Je m'appelle Galilée
(Renaud Séchan / Jean-Pierre Bucolo)
Lorsque mes mains caressent ta belle anatomie
Que mes yeux redécouvrent ta planète inconnue
Je deviens Aristote prince d'astronomie
Me noie dans l'infini de l'infiniment nue.
Quand, pour parler bien vrai, je t'aime je te nique
Qu'mon regard astrolabe plonge vers tes cratères
Je m'appelle Galilée, Newton, Copernic
Pour ton corps galaxie nébuleuse, univers.
Je m'attarde longtemps sur ces courbes splendides
Qu'il y a près de trente ans un big-bang fit naître
Effleur' le velours de tes seins de cariatide
De cette Voie Lactée où ma bouche furète
Puis j'explore cette sphère cet incroyable ventre
Plus vibrant et tendu que la peau d'un tambour
Ce globe, ce berceau où la vie frissonnante
Annonce un avenir resplendissent d'amour
Ton "origine du monde" est digne de Courbet
Et mon âme s'enflamme à ce soleil de feu
Cette supernova qui, pour l'éternité
Brillera dans l'azur de mon ciel amoureux.
Mais la conquête ultime, la planète magique,
A des années lumière des plaisirs trop conformes
C'est cette pleine lune aux rondeurs magnifiques
Où je pose mes lèvre et mon désir énorme
Illuminant mes nuits, pareil à la Grande Ourse,
Ton cul est une étoile et je suis son berger
Et c'est là que bientôt s'achèvera la course
De ma sonde voyageuse à deux doigts d'exploser.
Vous devinez sans peine la rime à Uranus
Qui me fera atteindre, du plaisir le zénith,
Ce territoire sacré près de ton mont de Vénus
Où mon délire sans fin, finira son orbite.
Lorsque mes yeux explorent ta planète inconnue
J'me noie dans l'infini de l'infiniment nue.
(Renaud Séchan / Jean-Pierre Bucolo)
Lorsque mes mains caressent ta belle anatomie
Que mes yeux redécouvrent ta planète inconnue
Je deviens Aristote prince d'astronomie
Me noie dans l'infini de l'infiniment nue.
Quand, pour parler bien vrai, je t'aime je te nique
Qu'mon regard astrolabe plonge vers tes cratères
Je m'appelle Galilée, Newton, Copernic
Pour ton corps galaxie nébuleuse, univers.
Je m'attarde longtemps sur ces courbes splendides
Qu'il y a près de trente ans un big-bang fit naître
Effleur' le velours de tes seins de cariatide
De cette Voie Lactée où ma bouche furète
Puis j'explore cette sphère cet incroyable ventre
Plus vibrant et tendu que la peau d'un tambour
Ce globe, ce berceau où la vie frissonnante
Annonce un avenir resplendissent d'amour
Ton "origine du monde" est digne de Courbet
Et mon âme s'enflamme à ce soleil de feu
Cette supernova qui, pour l'éternité
Brillera dans l'azur de mon ciel amoureux.
Mais la conquête ultime, la planète magique,
A des années lumière des plaisirs trop conformes
C'est cette pleine lune aux rondeurs magnifiques
Où je pose mes lèvre et mon désir énorme
Illuminant mes nuits, pareil à la Grande Ourse,
Ton cul est une étoile et je suis son berger
Et c'est là que bientôt s'achèvera la course
De ma sonde voyageuse à deux doigts d'exploser.
Vous devinez sans peine la rime à Uranus
Qui me fera atteindre, du plaisir le zénith,
Ce territoire sacré près de ton mont de Vénus
Où mon délire sans fin, finira son orbite.
Lorsque mes yeux explorent ta planète inconnue
J'me noie dans l'infini de l'infiniment nue.
En ce moment, vous êtes débordés et vous avez la tête sous l’eau ? Faîtes-vous du bien, vous murmurent les bonobos.
C'est Alpha qui la première a bien expliqué cela... N'oubliez pas les paroles, dans le couplet précédent il parle de "son origine du monde", c'est à dire ce qui permet aux femmes de donner la vie... Puis il dit qu'il passe à autre chose... la conquête ultime... à des années lumières des plaisirs trop conformes... suivi des rimes à Uranus... on ne peut pas faire plus explicite...
Alors l'soir avant qu'j'me couche
J'écoute chanter le Renaud
Les mots qui sortent de sa bouche
Ca m'fait tout drôle et ça m'touche
J'écoute chanter le Renaud
Les mots qui sortent de sa bouche
Ca m'fait tout drôle et ça m'touche