Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvre
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Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvre
Pour quelques-uns qui ne le connaissent pas ou peu
L'une de ses chansons les plus connues, La Fille du coupeur de joints, figurant sur son premier album, traite, sous un aspect enjoué, de l'amour et de la consommation de cannabis. L'imagerie des « consommateurs de substances psychotropes » est un des thèmes récurrents de son œuvre, notamment dans Solexine et Ganja, Exil sur la planète fantôme, Narcisse 81 et Cabaret Sainte-Lilith.
Parmi ses grands classiques, Alligators 427, une ironique ode à la mort inspirée par la peur du nucléaire et par une alerte médicale, ou encore Les Dingues et les Paumés ode à l'amour et aux écorchés-vifs ou Lorelei Sebasto Cha.
Parmi ses thèmes de prédilection, la folie (Le Jeu de la folie), la critique de la société (Exercice de simple provocation avec 33 fois le mot « coupable ») et la mort (Maison Borniol).
Chanteur-poète écorché vif, évoluant toujours aux marges du langage institué, il tire son inspiration d'écrivains comme Rimbaud, Baudelaire ou Lautréamont, qu'il cite dans ses textes. Son style sur les traces de Boris Vian, sa créativité n'ont jamais perdu l'humour truculent (Psychanalyse du singe), voire le non-sens (22 mai) de ses débuts, mais le cynisme (La Terre tremble) et le désespoir (Crépuscule-transfert) y ont une part plus importante. Il sait célébrer tous les plaisirs (Sentiments numériques revisités) : sexe, drogues… et rock'n' roll. C'est le maître des ambiances à la fois décadentes (Cabaret Sainte-Lilith) et charmeuses, rejoignant souvent la puissance imaginaire et artistique d'un Manset, d'un Gainsbourg ou d'un Léo Ferré.
Hubert-Félix Thiéfaine ne trouve pas uniquement ses influences dans la poésie française. Les auteurs de la beat generation forment une part importante de cette influence.
La plupart de ses textes sont des odes à la vie, ou du moins, à la manière de l'approcher, et à la mort. Entre ces deux extrêmes, on rencontre l'éloge de la folie, de la littérature, du sexe, de la drogue, et malgré tout, du genre humain…
Source : Wikipedia
L'une de ses chansons les plus connues, La Fille du coupeur de joints, figurant sur son premier album, traite, sous un aspect enjoué, de l'amour et de la consommation de cannabis. L'imagerie des « consommateurs de substances psychotropes » est un des thèmes récurrents de son œuvre, notamment dans Solexine et Ganja, Exil sur la planète fantôme, Narcisse 81 et Cabaret Sainte-Lilith.
Parmi ses grands classiques, Alligators 427, une ironique ode à la mort inspirée par la peur du nucléaire et par une alerte médicale, ou encore Les Dingues et les Paumés ode à l'amour et aux écorchés-vifs ou Lorelei Sebasto Cha.
Parmi ses thèmes de prédilection, la folie (Le Jeu de la folie), la critique de la société (Exercice de simple provocation avec 33 fois le mot « coupable ») et la mort (Maison Borniol).
Chanteur-poète écorché vif, évoluant toujours aux marges du langage institué, il tire son inspiration d'écrivains comme Rimbaud, Baudelaire ou Lautréamont, qu'il cite dans ses textes. Son style sur les traces de Boris Vian, sa créativité n'ont jamais perdu l'humour truculent (Psychanalyse du singe), voire le non-sens (22 mai) de ses débuts, mais le cynisme (La Terre tremble) et le désespoir (Crépuscule-transfert) y ont une part plus importante. Il sait célébrer tous les plaisirs (Sentiments numériques revisités) : sexe, drogues… et rock'n' roll. C'est le maître des ambiances à la fois décadentes (Cabaret Sainte-Lilith) et charmeuses, rejoignant souvent la puissance imaginaire et artistique d'un Manset, d'un Gainsbourg ou d'un Léo Ferré.
Hubert-Félix Thiéfaine ne trouve pas uniquement ses influences dans la poésie française. Les auteurs de la beat generation forment une part importante de cette influence.
La plupart de ses textes sont des odes à la vie, ou du moins, à la manière de l'approcher, et à la mort. Entre ces deux extrêmes, on rencontre l'éloge de la folie, de la littérature, du sexe, de la drogue, et malgré tout, du genre humain…
Source : Wikipedia
N'oubliez jamais que la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie...
Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
Celle-ci, vous l'avez certainement déjà entendue...
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- Saint Maïeul
- Messages : 3903
- Enregistré le : 11 févr. 2011, 19:01
Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
Je sais pas si ça peut donner envie de l'écouter la bafouille de wikipedia, mais en tout cas ils écrivent bien sur Wikipedia :p
Banalyse
- Marie la Belge
- Messages : 5998
- Enregistré le : 24 juil. 2006, 12:10
Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
Merci Cédric !
Elle quitte le vilain phenix mais aimera toujours Renaud.
Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
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Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
N'oubliez jamais que la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie...
Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
La suite plus tard
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Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
Merci Cédric, j'écoute ça ce soir au calme
Pour ma part c'est surtout toi qui m'a donné envie d'écouter mais oui la bafouille de wikipedia est sympa
Pour ma part c'est surtout toi qui m'a donné envie d'écouter mais oui la bafouille de wikipedia est sympa
Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
Ahhhhhh, c'est bon ça !!!
"Moi je cultive l'amour sur le fumier du mépris" (Yes papillon-Gari Greù/JG Tartare)
"Le coinT coinT sauvera l'humanité" (ac2n, philosophie de bistrot virtuel)
https://www.facebook.com/Xavisions-399600453546061/
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Re: Hubert-Félix Thiéfaine, quelques-uns de ses chefs-d'œuvr
N'oubliez jamais que la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie...
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