Moi aussi ça m'a pas rassuré les images de la place de la république...Marie la Belge a écrit :
Je ne suis pas sûre d'être contente, je ne suis pas sûre que ce "retour" soit une bonne idée.
Attention : je suis très heureuse que le Frangin se soit remis à l'écriture, qu'il sorte de sa bulle de cafard, qu'il recommence à créer, qu'il VIVE, quoi.
Mais chanter, sortir un disque, faire la tournée des Zéniths..... j'ai peur. J'ai regardé les videos de la Place de la République et je ne l'ai pas trouvé si en forme que ça. Sa voix, son élocution, son articulation, sa respiration, et Pierrot qui doit le soutenir pour arriver à sa voiture.
Mais d'un autre côté Renaud a fait la seule chose qu'il sait faire: écrire des chansons et les chanter.
Il avait ce besoin de le faire, il n'y a que ça qu'il sait faire.
Après qu'autour de lui il y ait un paquet de rapaces qui l'ont poussé un peu trop vite à le faire ça c'est pas exclu.
la critique elle va pas descendre l'album si elle le juge "mauvais"... au pire elle va se contenter d'un poli "tout ça pour ça". Parce que y'a trop de frics et de petits accords et entente en jeu pour que les professionnels de la profession soient vraiment honnètes dans leur analyse.Marie la Belge a écrit :En plus, livrer un album au public et à la critique c'est partir au casse-pipe, va-t-il le supporter ?
Dans le buzz des medias et les commentaires enthousiastes des fans je décèle de la pitié. Et moi je ne veux pas qu'on ait pitié du Frangin !
Voilà pourquoi je ne saute pas de joie et ne dis pas grand-chose. J'attends la suite des événements.
Pareil pour les "fanatiques",là ça va hurler GENIIIIIIIAL... sans même savoir pourquoi, mais "c'est Renaud donc c'est géniiiiiiiiial"
Et pire que des critiques assassines, la faux-culerie risque bien d'être ce qui va le plus plomber le frangin.
Parce que comme je l'ai dit le blème, pour moi, c'est pas qu'il refasse un disque...c'est peut être qu'il l'a fait trop tôt... qu'il est pas encore assez armé pour faire face à tout ce que ça va engendrer... et à ce moment là ceux et celles qui l'ont poussé y seront pas là pour l'épauler, trop occupés qu'ils et elles seront à compter leurs bifetons ou à se faire mousser.