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Tord
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Message par Tord »

Voilà, en fait j'ai déja écrit un livre, et j'essaie d'en refaire un autre, mais je n'en suis qu'au début, j'ai juste le plan.

alors je voudrais savoir ce que vous pensez de ces dix premières lignes... ce serait sympa de me répondre, même si vous aimez pas, histoire que je comprenne pourquoi. (et si vous voulez je vous montrerez la suite :wink: ) merci d'avance pour vos réponses :


Au moment même ou j’écris ces lignes, j’ignore si je pourrais un jour terminer cette histoire. Nous sommes aujourd’hui la dixième (et sans doute la dernière) année de la troisième époque D’Aglant. Je pense que si un jour, vous lisez cela, vous aurez certainement oublié son histoire. Je ne veux pas que mon peuple disparaisse des mémoires futures. Pour cette raison, je vais vous raconter l’histoire de mon peuple…

Le premier royaume d’Aglant a été bâti sur du sang. Le notre. Aglant Premier était le pire roi que les gens puissent imaginer. Avare, égoïste et sans aucun respect pour son peuple. Hommes, femmes et enfants étaient forcés de travailler pour la construction des cités. Beaucoup ont péri.
Puis le temps est passé. Les gens ont oublié. Aglant II suivait les traces de son père, mais il ne put le faire longtemps. A cette époque, les maladies ne faisaient pas d’exception pour les rois. Il se donna la mort afin d’échapper aux souffrances… Aglant III apparut.
Son règne fut contesté par des révolutionnaires. Ceux-ci, cachés dans les montagnes, attaquaient jours et nuits les réserves d’armes du roi. Mais ce n’est pas cela que je veux vous conter. C’est au Sud Est d’Aglanto que la véritable histoire commença. Dans un village nommé Salès.


merci encore...
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Tord
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Message par Tord »

Salès ne possédait pas plus de cent âmes. Mais sa bibliothèque était beaucoup plus importante et impressionnante que celle de la grande cité d’Aglanto. La légende raconte qu’une nuit, alors qu’il dormait, Mas fut réveillé par un orage. Mais il ne pleuvait pas dehors, et dans le ciel, toutes les étoiles étaient encore présentes. L’orage ne venait pas du ciel. Il venait du bâtiment d’en face, du repère des livres. Mas fut attiré par ce bruit. Il sorti nu, et le froid ne lui faisait plus aucun effet. Il savait désormais que ce qu’il avait tant cherché était là, en face de lui. Salès était toujours très calme et rares étaient les nuits, où elle était gardée. Les portes n’étaient jamais fermées, et Mas entra dans la bibliothèque sans aucune gêne. Le bruit n’avait tapé qu’une seule fois, mais il savait où cela se trouvait. Il s’enfonça dans la plus profonde pièce du bâtiment, et y trouva une caisse. Le livre était à l’intérieur, facile d’accès. Le paysan ouvrit la boite. Il prit le livre dans ses mains. Il y avait toute la vérité à l’intérieur, il le savait. Mais le voyage était encore long, et il lui fallait de l’aide. Certes, il connaissait les rudiments de l’épée, mais cela ne serait pas suffisant. Les guerriers et les mages étaient courants à cette époque, mais les très grands étaient rares. Oubelt était à cinq jours de marche à l’Est de Salès. De grands soldats avaient été formés là bas. C’était sa seule chance. Il savait qu’il devait se mettre en route dès le lendemain.

Vous devez vous demander ce que ce livre a de particulier. Je ne peux pour l’instant pas vous répondre. Vous ne comprendriez pas.
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