Ton immensité
Ton absence me décompose
Et mes rêves s'éparpillent
Je me perds dans ta prose
Qui couvre l'immensité
Mon oreille est un désert
Qui s' abreuve de tes paroles
Celles qui forment des oasis
Dans cet océan aride
Tu t' es emparé des branches
De l' arbre de mes pensées
Tes sinueux procédés
Ont enlacé mon coeur
Mes mains rêvent de t' atteindre
Et même parfois de t' éteindre
Feu dévorant de mon coeur
Atre de l'éternité
Labyrinthe ensorcelé...
Petits délires...
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Petits délires...
si un jour j'me rtrouve la gueule par terre, sur qu' ce sra d' la faute a le pen ... si j'crève le nez dans le ruisseau, sur qu'ce sra d' la faute à sarko...
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Re: Petits délires...
lafanfarates a écrit : Ton immensité
Ton absence me décompose
Et mes rêves s'éparpillent
Je me perds dans ta prose
Qui couvre l'immensité
Mon oreille est un désert
Qui s' abreuve de tes paroles
Celles qui forment des oasis
Dans cet océan aride
Tu t' es emparé des branches
De l' arbre de mes pensées
Tes sinueux procédés
Ont enlacé mon coeur
Mes mains rêvent de t' atteindre
Et même parfois de t' éteindre
Feu dévorant de mon coeur
Atre de l'éternité
Labyrinthe ensorcelé...
non non c est pas mal !!
" Ton immensité"
quand tu penses que Renaud dans " Je m'appelle Galilée "
il parlait de son etroitesse...
Prix de littérature
Daniel Oppenheimer
«Conséquences du recours à une utilisation érudite du langage vernaculaire sans égard à la nécessité: Le problème de l'emploi inutile de mots compliqués».
Daniel Oppenheimer
«Conséquences du recours à une utilisation érudite du langage vernaculaire sans égard à la nécessité: Le problème de l'emploi inutile de mots compliqués».