Sophie du moulin a écrit : ↑04 déc. 2017, 12:25
Myr a écrit : ↑02 déc. 2017, 20:40
Sophie du moulin a écrit : ↑02 déc. 2017, 13:06
Mais par exemple, au début de sa vie sexuelle, une jeune femme est confrontée à des actes médicaux auxquels les garçons ne sont pas confrontés et ça déjà ça a probablement ensuite un impact aussi sur le reste. Puisqu'il est admis qu'une toute jeune femme soit dans l'obligation d'accepter d'un ou d'une inconnue un toucher vaginal pour démarrer sa vie sexuelle....cela fait entrer dans les têtes déjà qu'une femme doit accepter des choses sur son corps différente d'un garçon et pourtant... rien n'est obligatoire! Pourquoi continuer à le laisser croire ???
Je sais pas, je me rappelle même plus à quoi ça sert en fait. Qu'est-ce qu'ils veulent prévenir exactement ? Je ne suis même pas sure qu'on me l'ai dit un jour. Mais bon je trouve que les médecins en général sont très avares d'explications. Il faut vraiment leur tirer les vers du nez.
On devrait tous apprendre à oser poser des questions aux médecins car certains sont effectivement peu pédagogues et omettent d'expliquer plein de trucs et si votre médecin s'offusque des questions que vous posez, un conseil, fuyez!
Pour le toucher vaginal lors des premières consultations , par exemple pour une contraception, tu verras que les avis sont partagés mais si on creuse un peu la question, il semble que ce soit devenu une routine sans fondement scientifique et effectivement s'il servirait à détecter des pathologie bégnignes (parce que les cancer, il ne faut pas se leurrer, on ne les détecte pas comme ça), il semble que ce soient toutes des pathologies dont la femme aurait des symptômes, donc un interrogatoire serait plus informatif en fait. Je te laisse des liens pour te faire ton opinion:
https://www.allodocteurs.fr/actualite-s ... 14282.html
http://marieaccouchela.blog.lemonde.fr/ ... e-moderne/
http://martinwinckler.com/spip.php?article307
Ah mais moi j'arrête pas de poser des questions ! La majorité des docteurs que j'ai rencontré, tous domaines confondus, n'aimaient pas trop ça !
Comme de dire non à une opération qui ne nous parait pas urgente, et que eux-même avouent qu'elle n(est pas urgente, ni qu'on est pas vraiment en danger si on ne l'a fait pas, et bien qu'ils veulent poser le rendez-vous là tout de suite. Ils n'aiment pas non plus, et franchement, je ne m'explique pas cette attitude, à moins d'être un peu con-con, mais j'ose quand même pas penser ça de gens qui ont fait autant d'études et qui se montrent autant supérieurs.
Là sur ce sujet précisémment j'en ai pas posé, parce que je n'y ai pas pensé, et parce que j'en avais déjà plein d'autres à psoer
(où je n'ai eu des réponses que difficilement, et qui ont en plus été remises en causes par d'autres docteurs plus tard…).
Les gynécos, pour être honnête, moins j'y vais, mieux je me porte ! Le dernier en date, bien que conseillé par d'autres médecins, j'ai pas aimé du tout, mais pas du tout, l'expérience.
J'ai lu en diagonale les 3 liens, c'est un peu l'hallu, car en effet c'est pratiqué systématiquement, et non jamais aucun docteur ne m'a demandé, ni même expliqué. Et ça dure toute la vie, à chaque passage chez le gynéco. Ce qui m'a d'ailleurs toujours paru étrange, c'est que les généralistes peuvent prescrire la pillule, mais ils ne font pas cet examen… Je ne m'explique pas la logique. Si vraiment l'exaemin gyénco est nécéssaire, pourquoi alors les généralstes peuvent prescrire la pilule ? (même pour la première fois quand on est jeune).