Portraits LCI, le par fr.
Mis en ligne dans le kiosque le 9 octobre 2011.

Romane Serda sur Renaud : « Nous venons de divorcer mais je l'aime »

La chanteuse française s'exprime, pour la première fois, dans Paris Match, sur son divorce d'avec Renaud Séchan, prononcé le 23 septembre dernier. "Il le fallait. Pour lui, pour moi, pour Malone", déclare-t-elle, jeudi, dans le magazine français.

L'été dernier, je me suis dit : « J'en ai assez d'espérer que ça s'arrange ». Car ça ne s'arrangeait pas. Romane Serda s'exprime, jeudi, dans le magazine Paris Match sur son divorce d'avec le chanteur Renaud Séchan, dont elle a partagé l'existence pendant onze ans.

La chanteuse française confirme, ainsi, les rumeurs de divorce qui bruissaient dans la presse people et sur internet, depuis cette semaine, d'autant plus que déjà, l'automne dernier, son époux s'était confié aux médias sur les difficultés rencontrées dans leur vie personnelle (lire "Renaud : 'Je meurs à petit feu'" et "Renaud : 'C'est mon problème si je n'ai pas d'idées'"). Et si Romane Serda avait évoqué son existence avec le chanteur de Mistral gagnant, en mars dernier (lire "Romane sur Renaud : 'Ce n'est pas simple tout les jours'"), c'est la première qu'elle en dit plus sur le divorce prononcé le 23 septembre dernier.

Plus la force

Sur sa décision de divorcer de l'artiste de 19 ans son aîné, la jeune femme de 40 ans déclare : J'ai mis beaucoup de temps. J'ai essayé de recoller les morceaux. J'y ai cru (...) Et il rechutait, et moi, je m'effondrais. Je n'arrivais plus à être le pilier. Je n'avais plus la force. Ces attentes déçues, cela faisait trop souffrir, explique-t-elle, soulignant que Renaud Séchan pétri d'angoisses, vit une souffrance indicible et qu'il boit pour alléger le poids de ce qui l'oppresse.

Nous venons de divorcer mais je l'aime, poursuit-t-elle : Je suis pleine de tendresse pour lui, je serai toujours là pour lui, je lui ai dit, il le sait. Mais je ne veux plus d'une relation où je suis en demande, en attente d'une situation qui ne s'améliore pas. On a soit la force de rompre, soit la lâcheté de subir. Moi, je n'en pouvais plus. Il le fallait. Pour lui, pour moi, pour Malone, conclut la maman du petit garçon, né en 2006.

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